L’histoire de GENTINA  débute un jour de printemps de 1904

dans un endroit plutôt inatendu en plein coeur de l’Afrique : Dakar. 

 

Ce Jour-là, Aldo GENTINA, Italien-monégasque passionné de pâtisserie et de foot,

décide de partager avec les habitants de la capitale Sénégalaise son goût pour les gâteaux originaux,

faits avec des ingrédients de grande qualité, avec un vrai désir d’excellence et d’envie de faire plaisir à ses clients qui,

au fil du temps sont devenus des amis.

 

Il ouvre alors, sur la grande place, une magnifique pâtisserie, qui ne tarde pas à devenir LA référence du Sénégal.

Durant plusieurs décennies, il n’a de cesse de régaler petits et grands sans jamais faillir à son engagement des débuts. 

 

Le temps passe, après la pâtisserie, Aldo GENTINA se consacre à sa seconde passion : le Football.

Il crée alors un centre de formation afin d'aider les jeunes passionnés à se perfectionner et accéder à de grands clubs.

Ce n’est que 2 générations plus tard que nait celui qui va reprendre le flambeau de la pâtisserie.

 

Dés l'âge de 12 ans, le chef passe son temps libre chez sa MAMY

(que tout le monde appelle MAMY-MOUSSE pour sa divine mousse au chocolat)

auprès de laquelle il apprendra les secrets des grands classiques de la pâtisserie.

Son désir de créer et d’apprendre le fait, un moment, hésiter entre l’Architecture & l’Art

et c’est finalement sa passion pour la gastronomie qui l’emporte.  il devient alors diplômé de cuisine & pâtisserie.

 

Le 6 septembre 2022, après un parcours chez de prestigieuses maisons et un grand prix au championnat de France de Macarons le chef fait renaître le Grand Café GENTINA dans l’emblématique quartier Saint-Aubin

avec le même désir qui animait Aldo près d’un siècle avant : le désir de faire des créations de qualité et les partager avec les Toulousains.

 

Aujourd’hui le chef nous confit être totalement épanouit : il a concrétisé ses rêves d’enfants en voulant être un grand architecte…

oui, un architecte de la pâtisserie, nous confit-il en souriant ;)

Et il finira en citant Marie-Antoine Carême qui ne séparait pas l'architecture de la pâtisserie et qui a écrit cette phrase :

​

" les Beaux-Arts sont au nombre de cinq, à savoir: la peinture, la sculpture, la poésie, la musique et l'architecture,

laquelle a pour branche principale la pâtisserie."